أ.ش.أ- توفى اليوم، أحمد بن بلة، أول رؤساء الجزائر بعد الاستقلال، عن عمر يناهز 96 عامًا، ويعتبر “بن بلة” أول رؤساء الجزائر المستقلة، وأحد الوجوه البارزة فى حرب التحرير الجزائرية.

وولد فى عام 1916 بمدينة مغنية الواقعة بولاية تلمسان الواقعة على بعد 480 كيلومترًا غرب العاصمة، شارك فى الحرب العالمية الثانية مع القوات الفرنسية، وحصل على ميدالية عسكرية من الجنرال شارل ديجول فى أبريل 1944.

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‫19 تعليق

  1. الجزائر- توفي احمد بن بلة اول رئيس للجزائر المستقلة الاربعاء عن 95 عاما، ليغيب واحد من الكبار الذين اطلقوا شرارة الثورة على فرنسا، من دون ان يمنع ذلك من زجه في السجن نتيجة الخلافات بين اركان الثورة الجزائرية.

    وناضل هذا الرجل “الشجاع والمشاك س” بحسب اقاربه، حتى السنوات الاخيرة من عمره عندما واجه مشاكل صحية عديدة بسبب تقدمه في السن.

    ولد الرئيس بن بلة في 25 كانون الاول-ديسمبر 1916 بمدينة مغنية “غرب” من عائلة مزارعين وواصل تعليمه الثانوي بمدينة تلمسان وادى الخدمة العسكرية سنة 1937.

    كان من الزعماء الكبار الذين انضووا تحت لواء حركة عدم الانحياز الى جانب الثوري الكوبي فيدل كاسترو والزعيم المصري جمال عبد الناصر والهندي جواهر لال نهرو والصيني ماو تسي تونغ.

    ولم يبق لفترة طويلة رئيسا للجزائر رغم فوزه في الانتخابات في 16 ايلول-سبتمبر 1963 ليصبح اول رئيس للجمهورية الجزائرية، فقد اطاح به نائبه وزير الدفاع هواري بومدين في 19 حزيران-يونيو 1965 واودعه السجن.

    وقال محمد بن الحاج واضع سيرته الذاتية ان “بن بلة لم يتوقع بان يتعرض للخيانة من قبل بومدين”.

    واضاف ان “بن بلة اودع السجن في ظروف قاسية خصوصا بين عامي 1965 و1969. ومنع حراسه من التحدث اليه وكان يتلو القرآن بصوت عال ليستمع الى صوته”. وتابع “كانت الغاية من ذلك دفعه الى الانتحار”.

    وتحسنت معنويات بن بلة بعد ان تزوج في السجن في 1971 من الصحافية زهرة سلامي وتبنيا ابنتين مهدية ونورية. وفي وقت لاحق تبنى صبيا مصابا بشلل رباعي يبلغ اليوم 32 عاما يقيم في اسبانيا.

    وظل بن بلة معتقلا حتى العام 1980 الى ان اصدر الرئيس الجديد الشاذلي بن جديد عفوا عنه وبعد اطلاق سراحه انشأ في فرنسا الحركة الديمقراطية بالجزائر.

    ويكون بن بلة بذلك امضى 24 سنة ونصف سنة في السجن: 16 سنة منها في عهد هواري بومدين وثماني سنوات في ظل الاحتلال الفرنسي.

    وتأثر بعمق بأحداث 8 ايار-مايو 1945 تاريخ انطلاق الثورة، فانضم الى الحركة الوطنية عبر حزب الشعب الجزائري.

    واصبح بعد ذلك مسؤولا عن المنظمة الخاصة حيث شارك في عملية مهاجمة مكتب بريد وهران عام 1949 بمعية حسين آيت أحمد ورابح بطاط.

    والقي القبض عليه سنة 1950 في العاصمة وحكم عليه بعد سنتين بالسجن سبع سنوات. ثم هرب من السجن في اذار-مارس 1952 ليلتحق في القاهرة بآيت أحمد ومحمد خيذر حيث شكلا فيما بعد الوفد الخارجي لجبهة التحرير الوطني.

    وقبض عليه مرة أخرى في تشرين الاول-اكتوبر 1956 خلال عملية قرصنة جوية نفذها الطيران العسكري الفرنسي ضد الطائرة التي كانت تنقله من المغرب نحو تونس برفقة أربعة قادة آخرين لجبهة التحرير الوطني “بوضياف وبطاط وآيت أحمد ولشرف”.

    واطلق سراحه سنة 1962 حيث شارك في مؤتمر طرابلس الذي تمخض عنه خلاف بينه وبين الحكومة المؤقتة للجمهورية الجزائرية. وفي 19 حزيران-يونيو 1965 عزله مجلس الثورة وتمت الاطاحة به.

    وبقيت علاقاته بفرنسا قوية وفور اطلاق سراحه في 1980 اختار المنفى في فرنسا حتى سنة 1990.

    عاد بن بلة الى الجزائر بعد انتخاب عبد العزيز بوتفليقة في 1999، ودعم سياسته لاجراء مصالحة وطنية مع الاسلاميين وتولى في 2007 منصبه الرسمي الاخير وهو رئاسة مجموعة الحكماء في الاتحاد الافريقي المكلفة الوقاية من النزاعات وتسويتها. “ا ف ب”.

    1. سلامي اليكي كاتيا برافو هذه هي سيرة الرجل وليس مثل خبر نورت الله يهديهم
      الله يرحمه ويغفر له ويرحم جميع اموات المسلمين

  2. رجل عظيم و بقي كذلك الى آخر لحظة في حياته ،، الله يرحمك يا بن بلة ستبقى خالدا في قلوبنا

  3. انا عراقيه ولكني من المعجبات بشخصية بن بلا رحمه الله واسكنه فسيح جناته .. كان حق يستاهل كلمة رئيس .

  4. انا لله و انا اليه راجعون . اللهم اغفر لنا و له و لجميع المسلمين.

  5. انا لله وانا اليه راجعون
    mais il fautrendre justice à tous les vrais maquisad les vrais chouhada et moujahidine aux algéreisn au sang pur mort pour l’Algérie sans jamais la trahir ni trahir sa cause
    Nacer Boudiaf répond à Ben Bella :« Vous, l’adjudant choisi par de Gaulle à la tête de l’Algérie… »
    dimanche 15 mai 2011
    par ABENCERAGE

    Monsieur le Président. Dans votre dernière interview à Jeune Afrique, vous avez qualifié Mohamed Boudiaf de « Zéro sur le plan militaire ». Si vous insinuez que s’il était un peu plus rusé sur ce plan, il ne serait pas lâchement assassiné, les militaires algériens apprécieront. Quant à son algérianité, vous n’en parlez pas pour la raison simple qu’elle est irréprochable, contrairement à la vôtre.

    Est-ce votre incomplète algérianité qui vous a permis de tenter de vendre l’Algérie à l’Egypte ?En effet, dans son livre l’Indépendance confisquée – et vous savez très bien par qui -, feu Ferhat Abbas nous informe que : « A Gamal Abdel Nasser, quand il vint en Algérie, il [Ben Bella] proposa l’union de l’Algérie avec la République arabe unie (RAU). Du drapeau algérien, encore humide du sang des chouhada, il [Ben Bella] voulait faire une simple étoile parmi celles figurant sur le drapeau de la RAU ! » Toujours dans l’Indépendance confisquée, Ferhat Abbas rapporte un témoignage de Abane Ramdane où il dit : « C’est Ben Bella qui dénonça en 1950 notre Organisation spéciale (OS) ; du moment qu’il était arrêté, rien ne devait subsister après lui. C’est un ambitieux sans courage. Pour parvenir à ses fins, il passera sur le corps de tous ses amis. Il est sans scrupule ». C’est à cause de cela que vous avez été très loin de la réunion des 22, donc du déclenchement de la révolution du 1er Novembre 1954 et que votre présence au Congrès de la Soummam n’était pas souhaitée par les grands de la Révolution qui ont eu vent de votre piètre prestation devant la police française en 1950. En effet, au cours de votre audition devant le commissaire de police Havard Jean, le 12 mai 1950, vous n’avez affiché aucune résistance et le procès-verbal complet de l’audition est actuellement disponible sur la toile Internet.Je vous cite quelques extraits de votre audition : « La fausse carte d’identité, l’extrait de naissance au nom de Mebtouche Abdelkader, né le 9 mars 1919, que vous avez trouvés dans ma chambre m’ont été remis par le député Khider et ce, dans les conditions suivantes : quelque temps après l’attentat perpétré contre la poste d’Oran, la police est allée me chercher à Maghnia, à mon domicile. Mes parents m’ont averti. C’est alors que j’ai demandé à Khider de me procurer de faux papiers. »Pour sa part, Lounis Aggoun, dans son ouvrage la Colonie française en Algérie, cite Roger Rey qui raconte comment vous avez refusé l’évasion de la prison. Il dit à ce sujet : « Ben Bella aurait pu se retrouver très tranquillement en Allemagne et prendre ses responsabilités politiques. Mais j’ai l’impression que, là aussi, le principal intéressé ne l’a pas voulu… Au dernier moment, Ben Bella a refusé de monter dans la voiture… Les captifs de rang élevé qui ne se sont pas décidés à sortir avaient sans doute de bonnes raisons de rester tranquilles là où ils étaient [en prison]. »Quant à Benyoucef Benkhedda, dans son livre Abbane-Ben M’hidi, il attire l’attention du lecteur sur le fait que « le colonel Fethi Dib, l’un des patrons des services spéciaux du raïs (Nasser), manœuvre dans ses rapports avec les représentants du FLN au Caire, et tente de faire de Ben Bella son interlocuteur privilégié. En réalité, son but visait à l’imposer comme seul maître de la délégation extérieure, l’estimant, sans doute, plus malléable que ses autres collègues. »La France, elle aussi, se rend compte de votre facile malléabilité et réalise la fameuse prise d’otages de l’avion qui vous conduisait du Maroc vers la Tunisie. Messieurs Hocine Aït Ahmed, Mohamed Boudiaf, Mohamed Khider et Mostfa Lacheref étaient dans ce même avion. Et de toutes ces augustes figures, la France décide d’appeler cette opération « l’Avion de Ben Bella ».D’emblée de jeu, la France vous choisit pour faire de vous une image et manipule les médias et les foules pour faire oublier les hommes comme Abane, Boudiaf, Aït Ahmed, Khider, Krim et bien d’autres. Plus tard, le général de Gaulle ne souhaitait pas, pour des raisons évidentes, avoir en face de lui, dans une Algérie indépendante, un Ferhat Abbas, un Boudiaf, un Aït Ahmed. Très fin manipulateur, de Gaulle enchaîne plusieurs manœuvres d’écarter deux pharmaciens (Abbas et Benkhedda) et réussit à placer à la tête de l’Algérie un adjudant décoré par l’armée française.Ainsi, vous n’hésitez pas une seconde à répondre favorablement à l’état-major quand il vous a proposé le pouvoir. Une proposition qui a été faite d’abord à Mohamed Boudiaf quand il était en prison à Aulnoy. Il avait refusé et condamné les manœuvres fractionnelles de l’état-major. Le président Ferhat Abbas cite le nom du messager qui a été envoyé par l’état-major à Mohamed Boudiaf.Aussitôt arrivé au pouvoir, vous écartez les Algériens dignes de ce nom et faites appel à Hervé Bourges qui, dans son ouvrage De mémoire d’éléphant, dit qu’il a reçu un appel téléphonique de Boumaaza au cours duquel ce dernier lui dit : « Je vous téléphone de la part de Ahmed Ben Bella. Il garde un bon souvenir de son geôlier, et il aimerait que vous puissiez faire partie de son cabinet pour le faire profiter de votre expérience administrative et juridique. Formellement, vous serez son conseiller technique chargé de l’information et de la jeunesse. En pratique, il aurait besoin de vous consulter sur d’autres thèmes. » Dès que vous arrivez à la tête de l’Etat algérien, votre police arrête Mohamed Boudiaf par le même policier qui l’avait arrêté avant l’indépendance, le poussant ainsi à se poser la question : « Où va l’Algérie ? » une question toujours d’actualité.Vous arrêtez également Ferhat Abbas, et avec Boudiaf, vous les envoyez tous les deux dans les conditions les plus pénibles au fond du sahara. Sur son arrestation, Ferhat Abbas apporte ce témoignage : « En 1964, je fus arrêté parce que je ne voulais pas suivre Ben Bella dans son aventurisme et son gauchisme effréné. J’ai démissionné de la présidence de l’Assemblée nationale constituante dès le jour où la Constitution du pays fut discutée et adoptée en dehors de l’Assemblée que je présidais et des députés élus pour ce faire. La discussion et l’adoption eurent lieu pour cadre une salle de cinéma de la ville Le Majestic. »Depuis lors, les acteurs ont changé mais le peuple vit dans un cinéma animé par le même scénario.Maintenant, je reviens à Mohamed Boudiaf. Voilà ce qu’il a dit de vous à Ferhat Abbas : « Ben Bella est un homme impossible. Il veut rester seul et il restera seul. » Vous resterez seul parce que, au moment où quelqu’un a fait de vous « le sage des sages de l’Afrique », vous n’hésitez pas à vous immiscer dans sa vie privée que vous étalez en public. Vous resterez seul parce que, au moment où l’Algérie est en proie à toutes les manœuvres de déstabilisation, vous qualifiez un homme d’envergure tel qu’Aït Ahmed de « Kabyle plus qu’Algérien ». Le peuple n’est pas dupe et il ne tombera pas dans le piège de « diviser pour régner ».Et même s’il y a de sérieux problèmes en Kabylie, les Algériens ne tomberont pas cette fois-ci dans ce piège. Actuellement, là où l’Algérie a le plus mal, c’est l’école. Et vous en portez une historique responsabilité car, dès 1963, Mohamed Boudiaf, dans Où va l’Algérie ? remarque pertinemment : « A Cuba, les prisons et les casernes sont transformées en écoles. En Algérie, les logements d’instituteurs servent de prison. Qui dit mieux ? »Toujours dès 1963, Mohamed Boudiaf tente d’alerter le peuple algérien, dans Où va l’Algérie, en nous disant : « Il est bon de souligner la responsabilité personnelle de Ben Bella dans toute cette affaire lamentable : il a été le rassembleur de toutes les forces politiques et sociales qui voulaient faire de l’Algérie indépendante une profitable affaire privée. »Abane assassiné, Boudiaf et Abbas emprisonnés, Aït Ahmed écarté dès les premiers mois de l’indépendance, alors vous vous décernez le statut de bourreau de l’indépendance d’Algérie ; et comme le dit Jean-Paul Sartre : « Je déteste les victimes quand elles respectent les bourreaux. »En essayant de jeter de l’huile sur le feu en ce moment en Algérie, vous voulez aider les concepteurs des plans de déstabilisation dans notre région. Mais comme à votre habitude, vous vous y prenez maladroitement et perdez l’occasion de préparer votre départ. Le peuple ne vous pardonnera pas d’avoir enchaîné Abbas, Boudiaf et tant d’autres pour vendre l’Algérie aux moins offrants.Le peuple ne vous pardonnera pas de sortir le 8 mai 2011, donc 66 ans après les événements du 8 mai 1945, pour essayer de le plonger dans une dangereuse incertitude. Pour cela, le peuple ne vous accordera pas une place au cimetière d’El Alia, pour ne pas côtoyer Boudiaf, Abbas, Ben M’hidi, Ben Boulaïd, Khider, Fatma N’soumer et bien d’autres hommes et femmes cent pour cent algériens.Enfin, votre dernière sortie sur Jeune Afrique me rappelle volontiers Jacques Brel quand il dit : « Finalement, finalement, il nous fallut bien du talent pour être vieux sans être adultes. » Dont acte. A quand une ALGERIE AUX ALGERIENS sans les traitres et les collaborateurs de tout bord?
    barka bla nife9 jahle etendocrinement darou 7alla ..

  6. allah yerferlou … mais en faire un HERO algérien qui a combattu pour nous libérer e désolée ça passe pas!! on ne libère pas un pays qui n’estpas le sien ..on peut juste le posséder et vouloir le posséder pour sa gloire et non la gloire d’un peuple… appelez un chat un chat. et qu’ILS arrêtent de falsifier NOTRE histoire …NOTRE COMBAT pour NOTRE PAYS…NOTRE TERRE et non la leur … justifier l’injustifiable???!!!! …..mais malgré ça allah yeghferlekoum …. alah youmhil wala youhmil… ..!!!

  7. إنا لله وإنا اليه راجعون.رحمه الله وغفر له واسكنه فسيح جناته والهم اهله الصبر والسلوان باذنه تعالى.
    تعازي لعائلته ولكل شعب بلدي الجزائر.

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